Sortie rivière sur l’Allier le dimanche 5 février [+Bonus]

Ce n’était pas gagné d’avance, mais nous l’avons fait! La première sortie rivière de l’année 2017 a eu lieu sur l’Allier supérieur le 5 février 2017, en coopération avec le club de Villeurbanne et le club parisien de Luc (BAC CK Sèvres Issy). Plutôt que d’écrire un compte rendu complet, je vous laisse lire ceux de Pierre-Yves et Florian de Villeurbanne pour la journée de dimanche et je me charge du reste.

Compte rendu de Pierre-YvesCompte rendu de Florian

En bonus, un rapide petit récit du weekend prolongé que Luc a fait avec ses deux acolytes du club du BAC, Guillaume et Romain (à ne pas confondre avec la BAC, encore que, il y a des points communs).

Samedi 4 février

Départ à 6h15 du plateau de Saclay, en même temps que les skieurs, ce qui nous laissé tout le temps d’admirer les collines du Morvan en faisant du 70 km/h de moyenne jusqu’à Beaune. Nous arrivons à 14h au collège de l’Eyrieux retrouver Guillaume (de Paladru). On n’avait pas dit 12h30 de base?? Le temps de discuter et de faire la navette nous embarquons à 15h30. Nous avons 4h de navigation (partie intégrale) mais nous devrions, moyennant de forts coups de pagaies, la faire en 2h30 et arriver avant la nuit. Mais à 19h15, après avoir descendu à l’aveugle la glissière quelques centaines de mètres avant l’arrivée, nous évacuons le matos vers la route, et terminons en footing pour aller chercher la voiture au départ. Comme dirait mon directeur des productions: il y a un moment où il faut arrêter les c*nneries. Nous arrivons à 22h15 chez les parents de Luc pour y passer la nuit (et manger des grosses parts de lasagnes) avant d’attaquer l’Allier le lendemain.

Dimanche 5 février

Alexei a demandé d’être à 8h au club pour partir sur l’Allier. Pour Luc et ses parisiens, ce sera l’heure à laquelle le réveil sonnera pour la 3e ou 4e fois (bin quoi?! Après 10h de conduite et 4h de navigation la fatigue se fait sentir). Pourtant en partant à 9h02 d’Oullins, nous arrivons à 11h07 au lieu de RDV.

Après la navigation, nous avions prévu de partir vers les Cévennes, mais compte tenu des trop gros niveaux, nous repartons sur l’Eyrieux, en manquant de faucher deux lapins et un sanglier sur la route. Nous nous posons au bord de la Glueyre, dans un ancien terrain de camping, et faisons un petit feu de camp (non sans peine à cause du sol humide). Il est presque 1h du matin alors Romain et Guillaume vont se coucher dans la tente, tandis que Luc dort dans la voiture (on ne refuse pas le confort de l’Audi qui permet de dormir à plat en pliant la banquette) et triche en mettant quelques minutes le chauffage avant de s’endormir.

Lundi 6 février

Nous comptions nous réveiller à 9h, mais à 9h18, Luc se réveille à peine et constate que ce n’est pas le cas de Guillaume et Romain qui dorment encore. Après un appui de quelques secondes sur le klaxon c’est chose faite. Voilà qui permet de réveiller la troupe sans s’exposer au froid! Nous partons donc sur la classique uniquement, afin de mieux profiter de cette partie, faite quasi entièrement de nuit samedi! Puis c’est le retour sur Paris, via la maison des parents de Luc pour déposer du matos et manger un bout avant de repartir. Il est presque 20h30 et il faut rentrer sur la capitale (bon au moins, on n’aura pas les bouchons). À 2h du matin, nous trouvons enfin nos lits pour nous remettre de ce superbe weekend!